Le SRAS-Cov de la chauve-souris en 2003, le MERS-Cov du dromadaire depuis 2012, le Covid19 du pangolin aujourd’hui, les atteintes à la biodiversité, assorties à une mondialisation rapace, favorisent l’apparition de virus bien plus résistants que nous ne le sommes.
On parle beaucoup, on se trompe souvent. Les solidarités sont aujourd’hui listées, applaudies, mais la logistique manque. On promet de repenser nos modèles, on peut en prendre le temps quand on est « confiné », mais les vieux travers politiciens reviendront vite, quand ce sera la belle saison et qu’on sortira de la crise.
C’est pourquoi nous plaidons pour l’éducation la plus large, dont on parle trop peu. Pour ne pas laisser les courbes et les chiffres aux seuls communicants, mais pour décider ensemble, à l’échelle locale, des mesures à prendre et des choix budgétaires. Concrètement :
Après le Covid19, la démocratie locale. Pour de vrai.
Suzanne Bourdet et son équipe